Programme

Nota : tous les sujets n’ont pas été traités.

Moderne Kunst

Une œuvre de Sigmar Polke emblématrique du postmodernisme.
Autres tableaux abstraits : — John M Armleder, visite nocturne de l’exposition Premier étage rue Vignier  ; — Bertrand Lavier, Walt Disney Productions  ; David Diao, reprise de la photo de 0.10.
Contexte : — modernité et postmodernisme
— le postmodernisme architectural
Rückblick : — Последняя футуристическая выставка картин „0,10” (La dernière exposition futuriste de peintures „0,10”)
— l’affiche de l’exposition This is Tomorrow
Pb. : — déjà vu, simulation, appropriation
— abstraction et pop art
Références :
Autres artistes, autres œuvres
L’Art i el seu doble. Panorama de l’art à Nova York, cat. de l’exposition (27 noembre 1986-27 janvier 1987), Barcelone, Centre Cultural de la fundació Caixa de Pensions,1986.
Atlas. How to Carry the World on One’s Back ?, cat. de l’exposition (Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, Madrid, 26 novembre 2010-28 mars 2011 ; ZKM/Museum für Neue Kunst, Karlsruhe, 7 mai-28 août 2010 ; Sammlung Falckenberg, Hambourg, 24 septembre-27 novembre 2011), conçue par Georges Didi-Huberman, Madrid, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia, 2010.
Outils théoriques
— Contexte critiques :
Arthur Danto, « The Artworld », The Journal of Philosophy, lxi, 1964, p. 571-584. (*Repris in George Dickie et Richard J. Sclafani (éd.), Æsthetics. A Critical Anthology, New York, Saint Martin’s Press,1977, p. 22-35. *Trad. fr., « Le monde de l’art », in Philosophie analytique et esthétique, textes rassemblés et traduits par Danielle Lories, Paris, Méridiens-Klincksieck, coll. « esthétique »., 1988, p. 183-198.)
— Pierre Ménard :
Jorge Luis Borges, Fictionnes, Buenos Aires, Emecé éd. , 1956. (*« Pierre Ménard, auteur du Quichotte », Fictions, trad. de l’espagnol par P. Verdevoye, Gallimard, 1957. Rééd., 1965.)
— Simulacre :
Gilles Deleuze, « Platon et le simulacre », in La Logique du sens, Paris, Minuit, 1969.
Jean Baudrillard, Simulacre et simulation, Paris, Le Seuil, 1981.
— Postmodernisme :
Daniel Bell, The Coming of the Post-Industrial Society. A Venture in Social Forecasting, New York, Basic Books, 1973.
Jean-François Lyotard, La Condition postmoderne, Paris, Minuit, 1978.
Référence ChB :
Tableaux abstraits, in cat. de l’exposition Tableaux abstraits (11 juillet-28 septembre), Nice, Villa Arson, p. 10‑15. (Repris avec un dossier « Il n’y a pas de nouvelle abstraction », Art Press, n° 106, Paris, septembre 1986, p. 16‑27.)
Expo : Abstraction étendue. Une scène romande et ses connexions, Espace de l’art concret, Mouans-Sartoux, 10 février-25 mai 2008. Avec Julien Fronsacq.
Expo : Abstraction Extension. Une scène romande et ses connexions II, Fondation Claudine et Jean-Marc Salomon, château d’Atenthon, Alex, 5 juillet au 2 novembre 2008. Avec Julien Fronsacq et Samuel Gross.

La Topographie anecdotée du hasard

Un petit livre de Daniel Spoerri. Sans doute le premier livre d’« art conceptuel ».
Autres œuvres : les Tableaux pièges, les musées sentimentaux
Contexte : les Nouveaux Réalistes
Œuvres d’autres artistes : Christian Boltanski (vitrines, reconstitutions, inventaires…)
Musées d’artistes
Pb. : — Présenter au lieu de représenter
— narration et description
— constat, collections, musées personnels
— archives
Textes :
Pierre Restany, Les Nouveaux Réalistes, premier manifeste, Milan, 16 avril, 1960. (*Repris in Restany, Les Nouveaux Réalistes, préface de Michel Ragon, Paris, Planète/Denoël, 1968. Repris in Le Nouveau Réalisme, rééd. du précédent avec des compléments, Paris, U.G.E., coll. « 10/18 », 1978.)
Daniel Spoerri, Topographie anecdotée du hasard, Paris, galerie Lawrence, 1962. (*Rééd. Centre Georges pompidou, 1990.)
Références :
Catalogue de l’exposition Daniel Spoerri, Amsterdam, Stedelijk Museum, 1971, vol. i : Wenn alle Künste untergehn, die edle Kochkunst bleibt bestehn  ; vol. ii : Hommage à Isaac Feinstein.
André Kamber, « Petit lexique sentimental autour de Daniel Spoerri », in version française du cat. de l’exposition itinérante Daniel Spoerri (org. Musée de Soleure), Paris, MNAM, Centre Georges Pompidou, 1990.
Autres artistes, autres œuvres :
Voilâ, le monde dans la tête, cat. de l’exposition (Musée d’art moderne de la ville, 15 juin-29  octobre 2000), conçue par Christian Boltanski, Bertrand Lavier, Suzanne Pagé, Béatrice Parent, Paris, Paris-Musées, 2001.
Outils théoriques :
Philippe Hamon, Introduction à l’analyse du descriptif, Hachette, coll. « Langue, linguistique, communication », 1981.
Umberto Eco, Vertige de la liste, publ. à l’occasion de l’exposition (Musée du Louvre, novembre 2009), Paris, Flammarion, 2009.
Référence ChB :
« Daniel Spoerri, Christian Boltanski… et Gustave Flaubert », conférence, École nationale des beaux-arts de Dijon, 19 novembre 1998.

Objets ayant appartenu à une dame de Bois-Colombes

Une œuvre-exposition de Christian Boltanski
Autres œuvres : Christian Boltanski (vitrines, reconstitutions, inventaires…) ; les musées sentimentaux de Daniel Spoerri.
Œuvres d’autres artistes :
Musées d’artistes : Duchamp, Oldenburg, Distel, Filiou…
Contexte : la Documenta de 1972.
Pb. : — Le musée comme forme d’œuvre.
— la présentation muséale
Références :
les musées sentimentaux
collections, musées personnels
Musées d’artistes :
Museums by Artists, sous la direction de AA Bronson & Peggy Galle, Toronto, Art Metropole, 1983.
James Putnam, Art & Artifact — The Museum as Medium, Londres, Thames & Hudson, 2001. (*Le Musée à l’œuvre. Le musée comme médium dans l’art contemporain, Paris, Thames & Hudson, 2002.)
Référence ChB :
« Daniel Spoerri, Christian Boltanski… et Gustave Flaubert », conférence, École nationale des beaux-arts de Dijon, 19 novembre 1998.

Compositions verticales-horizontales

De petites œuvres de Sophie Taeuber, réalisées entre 1917 et 1930. Ce sont sans doute les premières œuvres systématiques construites sur une grille rigoureuse. Peu perçues en raison de leur statut d’art appliqué. De plus l’artiste a subi l’ombre de Jean Arp…
Autres œuvres : la formation, l’ombre d’Arp
Contexte : — Dada
— naissance de l’art concret
Pb. : — la grille
— le système
— art et arts appliqués
Références :
Sophie Taeuber-Arp, cat. de l’exposition, Aarau, Aargauer Kunsthaus, 1989.
Sophie Taeuber, cat. de l’exposition, Paris, Musée d’art moderne de la Ville, 1989.
Jean Arp, Jours effeuillés. Poèmes, essais, souvenirs. 1920-1965, préface de Marcel Jean, Paris, Gallimard, 1966.
Texte à étudier :
Rosalind Krauss, « Grids », October, n° 9, été 1979. (*Première version : « Grids, you say », in cat. de l’expos. Grids. Format and Image in 20th Century Art, New York, The Pace Gallery, 16 décembre 1978-20 janvier 1979/Akron, Ohio, The Akron Art Institut, 24 mars-6 mai 1979. *Version d’October reprise in Krauss, The Originality of the Avant-Garde and Other Modernist Myths, Cambridge (Mass.)/Londres, The MIT Press., p. 8-22. « Grilles », trad. de l’américain par Josiane Micner, Communications, n° 34, p. 167-176.)
Référence ChB :
« Les compositions verticales-horizontales de Sophie Tæuber », in cat. de l’exposition Sophie Taeuber-Arp, (Musée d’art moderne de la Ville de Paris, 15 décembre 1989-18 mars 1990, puis Musée cantonal des beaux-arts, Lausanne), Paris, Paris-Musées, 1989, p. 35-42.
« Sophie Tæuber », conférence, Musée cantonal des beaux-arts, Lausanne, 4 mai 1990. (Reprise : Art Plus Université, Université de Bourgogne, Dijon, 12 janvier 1995.)
« Ce haut mur en tous sens qui compose ma mort », conférence, Espace de l’Art Concret, Mouans-Sartoux, 24 octobre 1997.

Gastrosophie

Daniel Spoerri cuisinier.
Les repas liés aux tableaux pièges, les menus, les recettes du Petit colosse de Sym, le restaurant de Düsseldorf, le eat art.
Contexte : Fluxus
Pb. : — art et activité
— savoirs populaires
— vertige de la liste
Ouvrages de l’artiste concernant la cuisine :
Daniel Spoerri, The Mythological Travels, New York, Something Else Press, 1970, p. 77-215 : « A Gastronomic Itinerary ».
Daniel Spoerri, J’aime les keftédès, Mane, Robert Morel, 1970.
Daniel Spoerris Gastronptikum. Eine Sammlung von Koch- iund Küchenkuriositäten zusammengestellt von Daniel Spoerri, Zürich, Regenbogen-Verlag, s.d.
Références :
Catalogue de l’exposition Daniel Spoerri, Amsterdam, Stedelijk Museum, 1971, vol. i : Wenn alle Künste untergehn, die edle Kochkunst bleibt bestehn  ; vol. ii : Hommage à Isaac Feinstein.
André Kamber, « Petit lexique sentimental autour de Daniel Spoerri », in version française du cat. de l’exposition itinérante Daniel Spoerri (org. Musée de Soleure), Paris, MNAM, Centre Georges Pompidou, 1990.
Daniel Spoerri presents Eat-art, cat. de l’exposition (19 octobre-9 décembre), sous la dir. d’Elisabeth Hartung, Munich, Aktionforum Preterinsel, 2001. (*Adaptation française avec adjonctions : Restaurant Spoerri, cat. de l’exposition (19 avril-2 juin), Paris, Galerie nationale du Jeu de Paume/RMN, 2002.)
Rückblick :
Incohérents :
Catherine Charpin, Les Arts Incohérents (1882-1893), Paris, Syros-Alternatives, 1960.
‘Pataphysique :
Alfred Jarry (1873-1907), Œuvres complètes, t. i, textes établis, présentés et annotés par Michel Arrivé, Paris, Gallimard, coll. « la pleiade », 1972, p. 655-734 : « Gestes et opinions du docteur Faustroll. Roman néo-scientifique ».
Collège de ‘Pataphysique, Les Riches heures du Collège de ‘Pataphysique, Paris, Fayard, 2000.
Escapade bibliographique :
Rabelais :
Rabelais, Œuvres complètes. Rabelais, éd. établie, annotée et préfacée par Guy Demerson, texte original établi par Michel Renaud et les chercheurs du laboratoire Equil XVI de l’Université Blaise-Pascal…, avec une transl. de Guy Demerson, textes latins établis, présentés, annot. et trad. par Geneviève Demerson. Rééd. corr. et… ref. du texte de 1579. Paris, Le Seuil, 1995 (textes en français moyen et en latin et trad. française en regard. Index).
Claude Gaignebet , À plus haut sens. L’ésotérisme spirituel et charnel de Rabelais, Paris Maisonneuve et Larose, 1986.
Références ChB :
Daniel Spoerri : L’Attrape tripes, festival Eat Art, 17 soirées culinaires, Maison de la culture, Chalon-sur-Saône, 4-27 mars 1980. Avec Jean Lenoir.
« L’Attrape tripes de Daniel Spoerri », entretien avec Bernard Lamarche-Vadel, ATAC information, n° 108 Paris, mars 1980.
« Daniel Spoerri gastrosophe. De l’art du chef Daniel dans la cuisine : hier et aujourd’hui », in cat. Restaurant Spoerri, Paris, Galerie nationale du Jeu de Paume/RMN, 2002, p. 8-20. (Repris in Ch. B. Abductions. L’œuvre et son interprétant, Genève, Mamco, 2006.)
La dégelée Rabelais. Une navigation polyphonique en cinq mouvements orchestrée par Emmanuel Latreille et Christian Besson…, Montpellier, Frac Languedoc-Roussillon/éd. Mediterrane, 2009.

Geometrie dans les spasmes

Une œuvre de François Morellet
Autres œuvres : les trames, les désintégrations architecturales, les Geometree, le tournant baroque
Contexte artistique : — le GRAV
— l’ Art systématique
Contexte culturel : Les frères Jacques, Francis Blanche, Morellet père
Rückblick : — les rires fin de siècle
— Theo Van Doesburg et Dada
Pb. : — l’incroyance ; — le trickster ; — art et humour
Éclairages :
Rire fin de siècle :
Alphonse Allais (1855-1905), Œuvres anthumes, édition établie par François Caradec, Paris, La Table Ronde, 1968.
L’Esprit fumiste et les rires fin de siècle, textes réunis par Daniel Grojnowski, Bernard Sarrazin, Paris, José Corti, 1990.
Daniel Grojnowski, Aux commencement du rire moderne. L’esprit fumiste, Paris, José Corti, 1997.
Années folles :
Pierre Dac, Les Pensées, Paris, Éd. de Saint-Germain des Près, 1972.
Calembours :
Jean-Paul Grousset, Si t’es gai ris donc. 3000 calembours, illustré par Chamoz, Paris, Julliard, 1963.
Contrepets :
Joël Martin, La bible du contrepet. Une bible qui compte pour décaler les sons. 2000 contrepèteries du patrimoine, 1800 contrepèteries nouvelles, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2003.
Textes :
Manifeste de l’art concret
Référence ChB :
« Entretien avec François Morellet », (11 octobre 1985), in cat. de l’exposition François Morellet, Paris, Musée national d’art moderne, Centre Georges Pompidou, 1986. (Repris in Ch. B. Abductions. L’œuvre et son interprétant, Genève, Mamco, 2006.)
« La Religion de Morellet. Le problème de l’incroyance dans l’art de la seconde moitié du xx^e siècle », in François Morellet. Quelques lignes en hommage à Lamour, Nancy, Musée des beaux-arts/Paris, RMN, coll. « reconnaître », 2003, p. 20-62.

Une trace de pas

Une œuvre de Richard Long
Œuvres connexes : les photographies de Hamish Fulton
Contexte : — Land Art américain et anglais
Pb. : — champ élargie de la sculpture
— temps et durée de l’œuvre
— art et écologie
Références :
Richard Long, catalogue, Eindhoven, Van Abbemuseum, 1979.
Bernard Lamarche-Vadel, « La marche dans le paysage anglais », Artistes, n° 2, décembre 1979-janvier 1980, p. 20-27.
Rosalind E. Krauss, « Sculpture in the Expanded Field », October, n° 8, printemps 1979. (*Repris in The Originality of the Avant-Garde and Other Modernist Myths, Cambridge (Mass.)/Londres, The MIT Press, 1985, p. 276-290.)
Lucy R. Lippard, Overlay. Contemporary Art and the Art of Prehistory, New York, Pantheon Books, 1983.
Gilles A. Tiberghien, Land Art, Paris, Éd. Carré, 1993.
Référence ChB :
« L’atelier de Richard Long », Public, n° 2, Paris, 1985.

Une centaine de petits livres

Peter Downsbrough artiste « multimédia »
Autres œuvres : les installations, les maquettes, les réalisations dans l’architecture, les photos, les films…
Contexte artistique : — postminimalisme
— petits livres ofset
Rückblick : Le Stijl, le productivisme soviétique, Max Bill et l’art concret suisse
Pb. : — modernité et passerelles entre art visuel, photographie, vidéo, architecture, édition, typographie…
— le style conceptuel
Références :
Position. Peter Downsbrough, catalogue de l’exposition (25 juin-7 septembre), Bruxelles, Palais des beaux-arts, 2003.
Anne Moeglin-Delcroix, Esthétique du livre d’artiste. 1960/1980, Paris, Jean-Michel Place/Bibliothèque nationale de France, 1987.
Référence ChB :
« Les livres d’artistes », texte de présentation de l’exposition Livres d’artistes, Chalon-sur-Saône, Maison de la culture, 1980.
« Quand l’œuvre interprète l’œuvre. Peter Downsbrough “multimédia” », in cat., Position. Peter Downsbrough, Bruxelles, Palais des beaux-arts, 2003, p. 138-160. (Repris in Ch. B. Abductions. L’œuvre et son interprétant, Genève, Mamco, 2006.)
Expo : I²AC_d (Images d’images de l’art dit conceptuel), collection Les Archives modernes, Mamco, Genève, 24 février-30 mai 2009. Avec Angèle Laissue et Valérie Mavridorakis. (Reprise École supérieure d’art, Dijon, automne 2009.)

Bandes et empreintes

Daniel Buren et Niele Toroni
Contexte artististique : — le pseudo groupe BMPT
Contexte politique : mai 1968 et l’arrêt
Contexte culturel : — Maurice Blanchot et le neutre
— Le problème de la répétition (Henri Lefèvre)
Pb. : — l’outil de travail, l’index
— la notion de degré zéro
— la pratique de la déconstruction
— la notion de dispositif
Texte à étudier :
Daniel Buren, « Déconstructions », Digraphe, n° 39-40, Paris, juin 1987, p. 19-28. (Écrits, vol. 3, p. 273-282.)
Daniel Buren, Rebondissements, Bruxelles, Daled & Gevaert, 1977.
Référence :
Daniel Buren, Les Écrits, éd. par Jean-Marc Poinsot, Bordeaux, capcMusée d’art contemporain, 1991.
Daniel Buren mot à mot, Paris, Centre Pompidou/Xavier Barral/La Martinière, 2002.
Outils bibliographique :
Sur le degré zéro :
Roland Barthes, Le Degré zéro de l’écriture, Paris, Le Seuil, coll. « Pierres vives », 1953. (Nouv. éd., Gonthier, 1964. Le Degré zéro de l’écriture, suivi de Éléments de sémiologie, Gonthier, 1967.)
Sur la déconstruction :
Jacques Derrrida, L’Écriture et la Différence, Paris, Le Seuil, coll. « Tel Quel », 1967.
Jacques Derrrida, De la Grammatologie, Paris, Minuit, coll. « Critique », 1967.
Sur la notion de dispositif :
Michel Foucault, Suveiller et Punir. Naissance de la prison, Paris, Gallimard, « bibliothèque des histoires », 1975.
Michel Foucault, Histoire de la sexualité. i. La Volonté de savoir, Paris, Gallimard, « bibliothèque des histoires », 1976.
Sur l’index :
Rosalind E. Krauss, « Notes on the Index », October, n° 3, été, et n° 4, automne 1977. (Repris in Krauss, The Originality of the Avant-Garde and Other Modernist Myths, Cambridge (Mass.)/Londres, The MIT Press, p. 196-219.)
Référence ChB :
« L’espace/le lieu », in cat. de l’exposition Mise en pièces, mise en place, mise au point, (Maison de la culture de Chalon-sur-Saône et Le Coin du miroir, Dijon, 7 février-15 mars 1981), Chalon-sur-Saône, Maison de la culture, 1981. (Repris in cat. Compilation, Dijon, Les Presses du Réel, 1998, p. 39-48.)
« Naissance de Daniel Buren », préface, in Daniel Buren & Annick Boisnard, Daniel Buren. Catalogue raisonné, t. I, Peintures 1964-1966, Le Bourget, éd. 11/28/48, 2000, p. 6-22.
« Niele Toroni : l’énoncé et son supplément », in Niele Toroni Catalogue raisonnable – 1967-1987 – 20 ans d’empreintes, Nice, Villa Arson/Grenoble, Musée de peintures et de sculpture, 1987.
« Daniel Buren. portrait bibliographique », in Critique d’art, n° 20, automne 2002, p. 85.

Fiction auto-biographique

La vie impossible de Christian Boltanski
Contexte artistique : — Une scène parisienne
— le personnage du peintre chez Jean Gac
— le Narrative Art
Rückblick : — Nouveau Roman
— Cinéma de la Nouvelle Vague
Pb. : la puissance du faux
biographie et horizon d’attente
Texte :
Jean Le Gac, Le Peintre de Tamaris près d’Alès, Crisnée, Yellow Now, 1978.
Références :
Une scène parisienne. 1968-1972, sous la dir. de Jean-Marc Poinsot, Rennes, Centre d’histoire de l’art contemporain, 1991.
Outils bibliographiques :
Théorie de la fiction :
Alain Robbe-Grillet, Pour un nouveau roman, Paris, Minuit, 1961.
Hans Robert Jauss, Rezeptionsästhetik, Munich, Wilhelm Fink, 1975. (Extraits, in Jauss, Pour une esthétique de la réception, trad. de l’allemand par Claude Maillard, Paris, Gallimard, NRF, Bibliothèque des idées, 1978.)
Umberto Eco, Lector in fabula, Milan, Bompiani, 1979. (*Lector in Fabula, trad. de l’italien par Myriem Bouzaher, Paris, Grasset, 1985.)
Théorie du récit :
Roland Barthes, « Introduction à l’analyse structurale des récits », Communications, n° 8, 1966, p. 1-27.
Gérard Genette, Figures. Essais, Paris, Le Seuil, coll. « Tel Quel », 1966.
Autobiographie :
Philippe Lejeune, Le Pacte autobiographique, Paris, Le Seuil, 1975.
Référence ChB :
« Christian Boltanski », Journal de la Maison de la culture, Chalon-sur-Saône, décembre 1979 (texte de présentation de l’expoition Christian Boltanski, Les modèles).
« Daniel Spoerri, Christian Boltanski… et Gustave Flaubert », conférence, École nationale des beaux-arts de Dijon, 19 novembre 1998.

Les enfants aux yeux rayés

Une œuvre d’Annette Messager
Contexte : — Une scène parisienne
— Les mythologies individuelles
Pb. : — art et maternité
— fantasmes
— être le suppôt des images
Contexte critique :
Harald Szeemann, « Individuelle Mythologien », Kunstnachrichten, vol. ix, n° 3, Lucerne, novembre 1972. (*Repris in Szeemann, Museum der Obsessionen, Berlin, Merve, 1981, p. 87-92.)
Harald Szeemann, Individuelle Mythologien, Berlin, Merve, 1985.
Références :
Annette Messager. Comédie tragédie 1971-1989, cat. de l’exposition (16 décembre 1989-12 février 1990 ; puis : Bonner Kunstverein, Bonn ; Musée de la Roche-sur-Yon ; Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen, Düsseldorf), Grenoble, Musée de Grenoble, 1989.
Annette Messager, Mot pour mot. Textes, écrits et entretiens, éd. établie par Marie-Laure Bernadac, Dijon, Les Presses du Réel/Londres, Violette Editions, 2006.

Tea Time

Un thé à la galerie Écart, Genève, à la fin des années 1970.
John M Armleder artiste
Pb. : — le désœuvrement, le zen
— le dandysme
Référence :
Lionel Bouvier et Christophe Cherix (éd.), L’irrésolution commune d’un engagement équivoque – Écart, Genève 1969-1982, Genève, Mamco, 1997.
Outils bibliographiques :
Sur le zen :
Alan W. Watts, The Way of Zen, New York, Pantheon Books, Inc. (*Le Bouddhisme zen, trad. de l’américain par P. Berlot, Paris, Payot, « bibliothèque scientifique », 1969.
Sur le désœuvrement :
Maurice Blanchot, Le Livre à venir, Paris, Gallimard, N.R.F., 1959. Notamment, chap. i, « L’œuvre finale » et chap. xv, « Le pont de bois ».
Jean-Yves Jouannais, Artistes sans œuvres. I would prefer not to, Paris, Hazan, 1997. (*Nouv. éd., préface de Enrique Vila-Matas, Gallimard, coll. « Verticales, phase deux », 2009.)
Sur le dandysme :
Françoise Coblence, Le Dandysme. Obligation d’incertitude, Paris, PUF, coll. « recherches politiques », 1988.
Référence ChB :
« Figures du désœuvrement dans l’œuvre de John Armleder », in cat. de l’exposition John Armleder (3 juillet-21 août), Milan, Electa/Fréjus, centre d’art le Capitou, 1994, p. 149-163. (Repris in Ch. B. Abductions. L’œuvre et son interprétant, Genève, Mamco, 2006.)
« Courant d’air, entr’acte, chahut, infusion, diffusion – sept notes sur Écart et les performances de John M Armleder », in Lionel Bouvier et Christophe Cherix (éd.), L’irrésolution commune d’un engagement équivoque – Écart, Genève 1969-1982, Genève, Mamco, 1997, p. 90-97.)
« L’actualité de John M. Armleder », conférence, Frac Aquitaine, Bordeaux, 22 mars 2009.

Truismes

Une série de Jenny Holzer
Autres œuvres de l’artistes
Contexte : la galerie Metro Picture
Pb. : — le lieu commun
— les textes performatifs
Références :
New York, ailleurs et autrement, cat. de l’exposition (21 décembre 1984-1è février 1985), Paris, Arc – Musée d’art moderne de la Ville, 1984.
Outils théoriques :
John Langshaw Austin, How to do Things with Words, éd. par J. O. Urmson, Oxford, Oxford U. P., 1962. (*Quand dire c’est faire, introd., trad. de l’anglais et commentaire par Gilles Lane, Paris, Le Seuil, coll. « l’ordre philosophique », 1970.)
François Recanati, Les Énoncés performatifs. Contribution à la pragmatique, Paris, Minuit, coll. « propositions », 1981.

Cocon précieux

Les Trichoptères de Hubert Duprat
Autres œuvres de l’artiste ; en quoi y a-t-il sculpture ?
Contexte : la nouvelle scultpure (anglaise), etc.
Rückblick : Le maniérisme
Les cabinets de curiosité et leur fortune critique
Pb. : — le mimétisme
— la curiosité
— art et sciences
— la notion d’artefact
— l’esthétique naturelle
Sur l’artiste :
Hubert Duprat, cat. de l’exposition, Paris, Hôtel des arts, Fondation nationale des arts, 1991.
Hubert Duprat, cat. de l’exposition., Angoulême, FRAC de Poitou-Charentes, 1992.
Hubert Duprat, cat. de l’exposition, Antibes, Musée Picasso, 1998.
Hubert Duprat : Massive central, cat. des expositions (6 juillet 2008-2- janvier 2009, Vassivière ; 28 mars-9 mai 2009, Frac Languedoc Roussillon, Montpellier), Vassivière, Centre international d’art et du paysage, 2011.
Outils théoriques :
Cabinets de curiosité :
Julius von Schlosser, Die Kunt- und Wunderkammern der SpätRenaissance. Ein Beitrag zur Geschichte des Sammelwesens, Leipzig, Klinkhardt & Biermann, coll. « Monographien des Kunstgewerbes », nouv. série, n° XI, 1908. (Rééd. Brunswick, Klinkhardt & Biermann, 1978. Raccolte d’arte e di Meraviglie del Tardo Rinascimento, trad. en italien par P. di Paolo, Florence, 1974. Les Cabinets d’art et de merveilles de la Renaissance tardive, trad. Lucie Marignac, préface et postface Patricia Falguières, Paris, Macula, 2012.)
Adalgisa Lugli (Naturalia et Mirabilia. Il Collezionismo enciclopedico nelle Wunderkammern d’Europa, Milan, Mazzotta, 1983. (Naturalia et Mirabilia. Les cabinets de curiosité en Europe, trad. franç., préface de Roland Recht, Paris, Adam Biro, 1998).
Patricia Falguières, Les Chambres des merveilles, Paris, Bayard, coll. « le rayon des curiosités », 2003.
Esthétique naturelle :
Roger Caillois, Méduse et C^ie, Paris, Gallimard, 1960.
Roger Caillois, Le Mimétisme animal, Paris, Hachette, 1963.
Roger Caillois, Cohérences aventureuses. (Esthétique généralisée. Au cœur du fantastique. La Dissymétrie), Paris, Gallimard, coll. « idées »., n° 359, 1976.
Bertrand Prévost, Les apparences inadressées. (en ligne)
Référence ChB :
« La phrygane, la merveille et le monument », in cat. de l’exposition Hubert Duprat, (Hôtel des arts, Paris, mars), Paris, Fondation nationale des arts, 1991, p. 7-32. (Repris in Ch. B. Abductions. L’œuvre et son interprétant, Genève, Mamco, 2006.)
« Les insectes orfèvres », Pour la science, n° 233, Paris, mars 1997, p. 108.
« The Wonderful Caddis Worm : Sculptural Work in Collaboration with Trichoptera », Leonardo. Journal of the International Society for the Arts, Sciences and Technology, vol. 31, n° 3, Cambridge (Mass.), the MIT Press, été 1998, p. 173-177.
Hubert Duprat theatrum. Guide imaginaire des collections. Édition critique établie par Christian Besson, Paris, RMN, coll. « Reconnaître », 2002.

Un monochrome rouge

Une œuvre d’Olivier Mosset de 1981.
Autres œuvres de l’artistes : l’expo de 1979 chez Tony Shafrazi ; monochromes et Hells Angels ; appropriation ?
Contexte : le groupe autour de Marcia Hafif ; l’exposition Radical painting.
Autres artistes : Marcia Hafif, Günter Umberg…
Rückblick : histoire du monochrome, depuis les salons caricaturaux en passant par les Incohérents. Casimir Malevitch, Alexandre Rodtchenko, l’Unisme, Rauschenberg, Yves Klein, le groupe Zéro… Claude Rutault, Stéphane Kropf.
Pb : – Savoir regarder au-delà de la nomination.
– l’aura de théorie qui entoure l’œuvre.
– mythologisation et mysticisme
– déconstruction
Références :
Catherine Charpin, Les Arts Incohérents. 1882-1893, préface de François Caradec, Paris, Syros-Alternatives, coll. « Zigzags », 1990.*
Denys Riout, La Peinture monochrome. Histoire et archéologie d’un genre, Nîmes, Jacqueline Chambon, coll. « Rayon Art », 1996.*

Éclairage

L’œuvre de Michel Verjux
Contexte : — l’héritage de Daniel Buren
Rückblick : histoire de l’éclairage
Pb. : — que veux dire montrer ?
— la valeur d’exposition
— la référence au pragmatisme
Catalogue :
Michel Verjux, cat. de l’exposition, Nice, Villa Arson/Paris, Musée d’art moderne de la Ville, 1992.
Textes de l’artiste :
Michel Verjux, Écrits, Paris, École nationale supérieure des beaux-arts, 2012.
Outils théoriques :
Walter Benjamin, Gesammelte Schriften, section v, Das Passagen-Werk, édité par Rolf Tiedemann, Francfort, Suhrkamp., 1982 (*Paris, capitale du xix^e siècle – Le livre des passages, trad. de l’allemand par Jean Lacoste, Paris, Le Cerf, 1989.)
Wolfgang Schivelbuch, Lichtblicke. Zur Geschichte der Künslichen Helligkeit im. 19. Jarhundert, Munich/Vienne, Carl Hanser Verlag, 1983. (*La Nuit désenchantée, trad. de l’allemand par Anne Weber, Paris, Le Promeneur, 1993.)
Référence ChB :
« Michel Verjux en éclaireur », in cat. de l’exposition Michel Verjux (10 septembre-6 octobre 1984), Dijon, Le Coin du miroir, Succès du Bedac n° 7, 4^e trimestre 1984.
« Michel Verjux au lieu de l’éclairage », in cat. de l’exposition Dispositif fiction, (Musée d’art moderne de la Ville de Paris, 19 décembre 1985-16 février 1986), Paris, Paris-Musées, 1985.
Catalogue Michel Verjux, Paris-Musées/Villa Arson, 1992.
« Paris, Charles Baudelaire… et Michel Verjux », in cat. de l’exposition Michel Verjux (4 juillet-26 septembre), Mönchengladbach, Museum Abteiberg, 1993, p. 27‑36. (repris sous le titre « Éclairage et allégorie », in Ch.B., Abductions. L’œuvre et son interprétant, Genève, Mamco, 2006.)
« Voix, projections, écriture », postface, in, Michel Verjux, Écrits, Paris, École nationale supérieure des beaux-arts, 2012.

Point de vue

Les œuvres de Felice Varini dans l’espace urbain et le paysage.
Contexte : — l’art public
Rückblick : histoire de la perspective
Les architecte baroques tessinois (Fontana, Maderno, Borromini)
Pb. : — qu’est-ce qu’une projection ?
— l’anamorphose
Catalogues :
Felice Varini. 46 pièces à propos et suite, Baden, Lars Müller, 1993.
Felice Varini. Points de vue, Baden, Lars Müller, 2004.
Étude :
Fabiola López-Durán, textes, in Felice Varini. Points de vue, op. cit.
Outils théoriques :
La Vision perspective (1435-1740), textes choisis et présentés par Philippe Hamou, Paris, Payot et Rivages, 1995.
Jurgis Baltrušaitis, Anamorphoses ou perspectives curieuses, Paris, Olivier Perrin, coll. « Jeu savant », 1955. (Anamorphoses ou magie artificielle des effets merveilleux, Paris, Olivier Perrin, 1969. Anamorphoses ou Thaumaturgus opticus, éd. révisée, série « Les Perspectives dépravées », Paris, Flammarion, coll. « idées et recherches », 1983.)
Hubert Damisch, L’Origine de la perspective, Paris, Flammarion, coll. « idées et recherches », 1987.
Référence ChB :
« Au sujet de Felice Varini », in journal de l’exposition Lato sensu. 17 artistes français/17 französische Künstler (Musée des beaux-arts de Mulhouse/Institut français de Fribourg, 23 novembre 1991-19 janvier 1992), Paris, Association française d’action artistique, 1992.

Écrans

Les peintures/écrans de Cécile Bart : tableaux et installations
Contexte : la lumière chez les californiens
— index et installation
Rückblick : les vues optiques transparentes ; le Diorama de Daguerre
Textes : — Jacques Lacan, Séminaire XI (texte sur le regard)
— Michael Fried, La Place du spectateur
Pb. : — différence entre le regard et la vue optique
— minimalisme et phénoménologie : déplacements du spectateur
— cadrage et index flou
— relations avec le cinéma, avec la danse
Catalogues :
Cécile Bart : Tanzen, Aarau, Aargauer, Kunsthaus/Marsannay-la-Côte, les Archives modernes, 1998.
Cécile Bart. Plein jour, Dijon, Les Presses du réel, 2004.
Références :
Éric de Chassey, « La peinture comme modulation », in cat. de l’expos. Cécile Bart : Tanzen, op. cit.
Outils théoriques :
Jacques Lacan, Séminaire, livre i – Les écrits techniques de Freud (1953-1954), Paris, Le Seuil, 1975, p. 87-181 : « la topique de l’imaginaire ».
Rosalind E. Krauss, « Notes on the Index », October, n° 3, été, et n° 4, automne 1977. (Repris in Krauss, The Originality of the Avant-Garde and Other Modernist Myths, Cambridge (Mass.)/Londres, The MIT Press, p. 196-219.)
Philippe Dubois, « L’ombre, le miroir, l’index. À l’origine de la peinture : la photo, la vidéo », Parachute, n° 26, Montréal, 1982, p. 16-28.
Pascal Bonitzer, Peinture et Cinéma. Décadrage, Paris, Cahiers du cinéma/Éditions de l’Étoile, 1985.
Référence ChB :
« Travesía de la pintura », in cat. de l’exposition Cécile Bart (mars), Madrid, Galería Juana Mordó, 1990.
« Abstraction faite du spectateur », in Tableau : territoires actuels, sous la direction d’Olivier Gourvil, Valence, École régionale des beaux-arts, 1997, p. 70-89.
« Logique du vague », in Ch. B. Abductions. L’œuvre et son interprétant, Genève, Mamco, 2006. (Repris in Cécile Bart, Plein Jour, Dijon, Les Presses du Réel, 2008.)

Dessins anatomiques

Une œuvre diligentés par Pierre Joseph
Autres œuvres
Contexte : — le groupe de Grenoble (Philippe Parenno, Dominique Gonzalez-Foester, Bernard Joisten)
— l’esthétique relationnelle
Rückblick : La science à l’école et au salon
Pb. : — le non-pouvoir, les limites du savoir
— le didactisme
Ouvrage de base :
Pierre Joseph, Oui, non, peut-être, Dijon, Les Presses du Réel / Paris, M/M, 2011.
Contexte critique :
Nicolas Bouriaud, Esthétique relationnelle, Dijon, Les Presses du Réel, coll. « Documents sur l’art », 1998.
Escapades bibliographiques
Ervin Goffman, Interactional Ritual, New York, Doubleday, 1967. (Trad. fr. Les Rites d’interaction, Paris, Minuit, 1974.)
Daniel Raichwag et Jean Jacques, Savants et Igorants. Une histoire de la vulgarisation des sciences, Paris, Le Seuil, 1991.
Jacques Rancière, Le Maître ignorant. Cinq leçons sur l’émancipation intellectuelle, Paris, Fayard, 1987.

La Folk Archive

Un livre de Jeremy Deller
Autres œuvres de l’artiste
Contexte : le pop art pas mort
Rückblick : Les expositions de l’ICA dans les années 1950
Pb. : — high and low
— Folklore et culture populaire
Escapades bibliographiques
Claude Gaignebet, Art profane et religion populaire au moyen-âge
High & Low, cat. de l’exposition (7 octobre 1990-15 janvier 1991 ; ensuite à Chicago, Los Angeles), sous la dir. de Kirk Varnedoe, Adam Gopnik, New York, MOMA, 1991.
Richard Hoggart, The Uses of Literacy, Londres, Chatto & Windus, 1957. (*La Culture du pauvre. Étude sur le style de vie des classes populaires en Angleterre, trad. de Françoise et Jean Claude Garcias et de Jean-Claude Passeron, présentation de Jean-Claude Passeron, Paris, Minuit, coll. « le sens commun », 1970.)
Dick Hedbidge, Subculture : The Meaning of Style, New York, Metuhen and Co, 1979. (Sous-culture. Le sens du style, trad. franç. Marc Saint-Upéry, Paris, La Découverte, coll. « Zones », 2008.)
Greil Marcus, Lipstick Traces
Jean-Yves Jouannais, L’Idiotie. Art, vie, politique – méthode, Paris, Beaux-Art Magazine, 2003.
Référence ChB :
site folklores modernes : <http://folklores.modernes.biz>